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Nos valeurs
Histoire de l'établissement
Clément Reine achète en 1920 le Terminus à Chaumont. Conscient qu'il y a beaucoup de Terminus en France, il le baptise GRAND HOTEL TERMINUS REINE.
En 1944, nos amis les alliés se trompent et détruisent totalement le Grand Hôtel Terminus Reine au lieu de la gare de Chaumont. Il ne reste plus rien de l'établissement.
Prosper Jehlé qui vient d'épouser Andrée Reine se met au travail avec son beau père Clément. Sur les ruines de l'établissment ils construisent une baraque en planches et nomme le Bar Café "Le Tout Va Bien"
En 1950, la première partie de l'hôtel est reconstruite : la rotonde, quelques chambres et le restaurant. Les traveaux s'achèveront en 1959 avec 63 chambres trois étoiles. Clément nous quitte à 80 ans la même année.
En 1970, François, le fils de Prosper et Andrée, revient à 23 ans seconder son père après des études hôtelière à Strasbourg et Nice.
Quelques mois plus tard, le Général de Gaulle décède à Colombey. "Les péletrins" affluent et François convainc son père de construire un hôtel trois étoiles à Colombey avec 42 chambres et 200 places de restauration. Il s'appelle l'hôtel des Dhuits. Le restaurant ouvrira le 1er juillet 1971 et l'hôtel pour le premier anniversaire de la mort du Général le 9 novembre 1971.
Prosper prends sa retraite en 1975 et François 3e génération dirige les deux établissements assistés de fidèles et anciens collaborateurs.
Le groupe "les Relais du Sud de la Champagne "
Les affaires se développent et en 1987, il achète l'hôtel du Commerce à Nogent. Il le rénove complètement, le développe et acquiert ensuite l'hôtel du Parc à Arc en Barrois, le Saint Christophe à Neufchâteau, l'Europe et le Lion d'Or à Langres puis le Grand Val à Chaumont et enfin Lamartine à Saint-Dizier.
C'est à la suite de ces achats que naît le groupe "Les Relais Sud de la Champagne" qui compte 10 enseignes et emplois plus de 150 personnes !
Pour assurer le remplissage de ses différents hôtels-restaurants qui sont pour la plupart situés en dehors des axes touristiques et dans des régions peu peuplées. François Jehlé doit déployer des trésors d’imagination en matière de marketing. Il réalise d’abord des dépliants publicitaires très attractifs, installe des panneaux sur des grandes voies routières, contacte les entreprises installées loin de la Haute Marne pour qu’elles délocalisent leurs réunions et séminaires, etc.
L’homme qui n’a évidemment plus le temps de se mettre aux fourneaux sait aussi s’entourer de bons cuisiniers afin que ses différentes tables soient la meilleure des publicités. Et durant la période d’ouverture de la chasse, il propose notamment tous les gibiers de Haute Marne frais et accommodés le plus souvent à partir de recettes « maison » qui connaissent un grand succès. Tellement qu’il est choisi par l’un des plus importants éditeurs français pour participer à la rédaction d’un ouvrage, « La cuisine du gibier », qui devient une référence.
En 2019, quelques établissements ont été revendus. Le groupe est maintenant dirigé par Isabelle Jehlé Bellivier – 4e génération et des collaborateurs fidèles, dévoués, compétents et responsables « Anne, Nicolas, Jeff en salle, Jean Jean en cuisine et Anita à la pizzeria ». Ils ont toujours à l’esprit la maxime du fondateur des Relais Sud de la Champagne « vous servir est notre plaisir ».
Dans un monde contraint économiquement, ils se battent pour maintenir une tradition d’accueil de qualité, de confort et de bien être pour leurs clients avec une restauration « faite maison » en préparant des produits locaux de qualité.